Voici une histoire comme on les aime. Le 11 décembre 2015, en pleine nuit, le pavillon Saint-Édouard de l’école primaire de l’Harmonie, dans l’arrondissement Beauport juste à côté de Boischatel où j’habite, a pris feu. L’incendie s’est déclaré dans le premier étage du bâtiment centenaire, jetant à la rue — ou plutôt en congé forcé … Lire la suite Les archets laser
J’aime les comédies musicales avec leurs rythmes entraînants et leur message bon enfant. On dirait que la crédibilité de la situation n’est pas un critère qui compte quand vient le temps de créer une chanson. J’imagine l’ébauche honnête de «Do ré mi», dans la Mélodie du bonheur : Sept enfants qui n’ont jamais chanté de leur … Lire la suite La pub du jour 25 (Le bon côté des choses)
Samedi, mes beaux-parents adorés sont allés au cinéma. Pas de quoi faire un article, pensez-vous? Et bien, si! Si nous nous offrons de nombreuses sorties en salle lors de leurs visites au Québec, ils vont trèèèèès rarement au cinéma en France. La dernière fois, c’était en 1998, pour Le dîner de cons. Vous comprendrez notre étonnement … Lire la suite Et Dieu dans tout ça?
Je n’ai pas la larme facile au cinéma. Mais il s’agit que je voie une scène de « temps qui passe » pour que je hoquette comme un bébé. Je me liquéfie à chaque fois que Le château de ma mère se termine. Quand j’ai revu Cinéma Paradiso avec les enfants, j’ai fait mon repassage pour … Lire la suite Le temps qui passe
Le sketch qui suit vient de nos amis allemands. Il est tiré de la série Knallerfrauen (littéralement Célébrer les femmes). C’est une série qui ressemble un peu à Un gars, Une fille par le propos. Martina Hill, une actrice extraordinairement expressive, joue son propre rôle dans des scènes quotidiennes. Mon mari germanophone a eu la gentillesse de corriger … Lire la suite La récréation 19 (le I-Pad)
C’est souvent à la Nouvelle Vague qu’on pense quand on évoque le cinéma français. Ce style-là ne connaît pas le consensus et provoque les passions. En 1959, après la projection d’Hiroshima mon amour au festival de Cannes, Marcel Achard, le président du jury, a dit : « C’est de la merde ». Le juré Favalelli lui a … Lire la suite Henri et la Nouvelle Vague
À l'orée de la ville 