Voici le chemin que j’emprunte pour aller à la rivière.
Il est inégal, glissant et… magnifique. Je suis Gaspésienne : courir dans un pareil escalier est un jeu d’enfant, même si je dois regarder où je pose les pieds quand je descends.
Hier, j’expliquais à mon mari que c’était plus facile de remonter les bras chargés de roches que de descendre en faisant attention à chaque pas. J’ai résumé la situation en une phrase qui nous a laissés pensif tous les deux :
« La peur me ralentit plus que l’effort. »
Quand mon mari a repris la parole, il m’a dit :
« J’aimerais bien que tu notes cette phrase que tu la médites souvent. »
Excellent conseil. Je vais le suivre.
« La peur me ralentit plus que l’effort. »
C’est vraiment quelque chose à méditer!
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Je le fais chaque jour, depuis!
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