Je suis soufflée par le talent des dessinateurs qui arrivent à rendre les objets vivants. Comme le sucrier de Merlin ou l’adorable Wall-e qui possèdent une personnalité bien tranchée. Ils ont la caractéristique commune d’être expressifs, sans prononcer un seul mot. Genre Charlie Chaplin.
Le court métrage qui suit date de 1960. Les notes rappellent les bonhommes allumettes des poches en dessin (moi, moi, moi). Seuls personnages, ils portent l’intrigue. Remarquez la mimique avinée de la petite note rouge qui perturbe le morceau au complet.
Quel chaos cette partition de musique!
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Alors que l’original est si harmonieux!
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Aujourd’hui, une note ivre n’aurait pas lieu dans une animation, n’est-ce pas? Quelques-uns de nous avons vécu des temps moins « correct », mais très amusants: des revolver avec des amorces, des cigarettes au chocolats… des notes de musique ivrognes…!
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Effectivement. On délaisse parfois le ludique au profit de l’éducatif.
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