Vendredi 3 avril
Je suis propriétaire depuis un an et je n’avais pas encore connu l’urgence résidentielle. C’est fait : j’ai une toilette bouchée. C’est celle du sous-sol qu’on n’utilise presque jamais, mais on doit quand même la faire réparer. Mon premier réflexe (de femme) a été de prononcer le mot « plombier ». James a failli s’étouffer. Je ne comprends pas pourquoi c’est tellement humiliant d’appeler un plombier, mais évidemment mon raisonnement manque de testostérone. Je l’ai donc laissé gérer le dossier pendant que je retournais aux miens.
Je n’en finis plus de faire la liste des choses que je dois lister : la personnification, le plan, l’intrigue, les décors, l’échéancier, le séquencier et tutti quanti.
Si Anne continue à se protéger comme ça, elle va couler à pic dans son scaphandrier.
Ouf! Je suis justement dans ce «mood» ces temps-ci et j’hais ca.
Auto, foyer, porte, thermo-pompe et pour clore…les voisins. 😟😥
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On dirait qu’il y a parfois des dates de péremption syncronisées.
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Je déteste les urgences résidentielles! J’ai même un plombier « d’estimation », quoi!
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Ça, c’est une drôle de spécialisation!
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